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Les Travaux d'Hercule
(Le Fatiche di Ercole)
(Pietro
Francisci, FR-IT - 1957)
(Page 4/4)
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Galerie de photos (suite)
Le voyage de l'Argo |
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Gino Mattera,
un chanteur lyrique qui arrondissait ses fins de
mois en «faisant acteur», incarne Orphée,
le doux chantre de la Thrace, rythmant la cadence
des rameurs embarqués sur l'Argo
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«C'est
toi qui l'a dit, alors c'est toi qui l'est.»
Mouton et mutin. Gare à la baffe ! Prudemment
retranché derrière Hercule, à
l'extrême-gauche sur la photo (on n'a que
des ennuis avec ces gens-là), le fourbe Eurysthée
(Arturo Dominici) n'a pas son pareil pour exciter
ses camarades et susciter la révolte.
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En Colchide |
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Les guerrier
«nés du sol» dont parle le
mythe sont ici devenus des «Anthropomorphes»,
reliquat d'une humanité préhistorique
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Tiens, en parlant de préhistoire
!, voici le grand-père de Godzilla, gardien
de Toison d'Or de son état, qu'un teigneux
de héros grec a arraché à son
somme... |
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Vers le dénouement |
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Comme il a laissé
brûler la Toison d'Or, Hercule a pris les
arrêts de rigueur : Anthéa qui passait
par-là rêve à la folle étreinte
qu'elle n'a pas connue.
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Et puis Hercule
fait un esclandre avec ses chaînes de vélo,
pardon de cachot, massacre les videurs...
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... et fait s'effondrer
le plafond de la discothèque. |
Quant à
Iole, sa meuf, elle l'attend alanguie sur le canapé
en se poudrant le nez tranquillement : Ah ! le repos
du guerrier !
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Photos de plateau... |
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